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bienvenue sur mon blog accueil a propos recherchez aussi : - auteurs boliviens - brasil mapa - mapa do mundo afrique - bresil - brésil tourisme juin 2018 l ma me j v s d « mar 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 archives mars 2009 visiteurs il y a 1 visiteur en ligne sondage désolé il n'y a aucun sondage disponible actuellement. auteur: articles récents lygia fagundes telles: les pensionnaires lygia fagundes telles bresil, suite bresil marcos malavia, tragaluz marcos malavia bolivie, auteurs jose mendoza bolivie, suite bolivie catégories argentine auteurs argentins auteurs boliviens bolivie bolivie: auteurs bresil bresil auteurs non classé commentaires récents admin dans bonjour tout le monde ! pages a propos articles récents lygia fagundes telles: les pensionnaires lygia fagundes telles bresil, suite bresil marcos malavia, tragaluz marcos malavia bolivie, auteurs jose mendoza bolivie, suite bolivie liens créer un blog unblog.fr vous devez être connecté à votre compte pour me contacter méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires marcos malavia, tragaluz posté par aprender le 30 mars 2009 publié dans bolivie: auteurs | pas de commentaire » lygia fagundes telles: les pensionnaires posté par aprender le 30 mars 2009 les pensionnaires de lygia fagundes telles (auteur), maryvonne lapouge-pettorelli (traduction) Éditeur : stock genre : roman contemporain présentation : broché date de parution : 12/10/2005 les pensionnaires est un roman d’apprentissage qui se déroule dans un foyer catholique pour jeunes filles de são paulo. trois étudiantes attendent la fin de la grève à l’université pour passer leurs examens. il y a lorena, la petite fille riche, qui occupe ses journées en rêvant à un homme marié dont elle est follement amoureuse. ana clara, issue d’un milieu modeste, qui pense effacer à jamais un passé sordide grâce à un mariage d’argent. enfin lia, militante, qui espère le grand soir et la libération de son ami, incarcéré pour ses idées politiques. chacune d’entre elles incarne à sa façon les aspirations et les doutes d’une génération qui a grandi pendant les années noires de la dictature militaire au brésil, à une époque partagée entre censure politique, ordre moral et libération sexuelle. mais bien plus que le portrait d’une époque, les pensionnaires raconte ce que c’est d’avoir vingt ans, d’aimer à la folie, sans limite ni raison, d’être prêt à mourir pour ses idées et également d’avoir peur d’un monde dont on commence tout juste à percevoir le chaos. lygia fagundes telles, en digne héritière de virginia woolf, signe ici une oeuvre polyphonique, oscillant entre violence, sensualité et innocence. considéré comme son chef-d’oeuvre, ce roman est devenu un classique de la littérature brésilienne. publié pendant les trois années noires e la dictature militaire au brésil, les pensionnaires met en scène le destin de trois étudiantes dans un foyer catholique pour jeunes fille de sao paulo au début des années 1970. chacune incarne à sa façon les aspirations et les doutes d’une génération qui a grandi à une époque partagée entre censure politique, ordre moral et libération sexuelles. leurs récits croisés, où réalité, souvenirs et fantasmes s’enchevêtrent, font la chronique d’une société en pleine mutation qui rêve de liberté. mais ce roman d’apprentissage raconte également ce que c’est d’avoir vingt ans, d’aimer à la folie, sans limites ni raison, d’être prêt à mourir pour ses idées et d’avoir peur d’un monde dont on commence tout juste à percevoir le chaos. lygia fagundes telles, en digne héritière de virginia woolf, signe ici une œuvre polyphonique, oscillant entre violence, sensualité et innocence. considéré comme son chef-d’œuvre, les pensionnaires est devenu un classique de la littérature brésilienne. publié dans bresil auteurs | pas de commentaire » lygia fagundes telles posté par aprender le 30 mars 2009 lygia fagundes telles [brÉsil] (são paulo, sp, 1923). après des études de droit, elle a occupé différents postes administratifs. elle publie son premier livre de contes en 1944 et son premier roman en 1954. elle a vécu une quinzaine d’année à paris, lorsque son mari paulo emilio sales gomes travaillait à la cinémathèque française aux côtés d”henri langlois. présidente de l’académie brésilienne des lettres, elle a reçu le prix camões 2005. ses recueils de contes et de nouvelles ont été constamment réédités, leurs titres ont parfois changé. certains ne figurent plus dans la bibliographie qu’elle propose au lecteurs, car un livre n’est vivant, écrit-elle, que s’il est disponible en librairie. praia viva (1944), ciranda de pedra (1954), histórias escolhidas (1954), histórias do desencontro (1958), verão no aquário (1963), o jardim selvagem (1965), seleta (1971), un thé bien fort et trois tasses (1972), les pensionnaires (1973), la structure de la bulle de savon (1978), filhos pródigos (1978), la discipline de l’amour (1980), misterios (1981), o cacto vermelho (1986), l’heure nue (1989), a estrutura da bolha de sabão (1991), la nuit obscure et moi (1996), invenções e memória (2000). « sa littérature est toute de légèreté et d’ironie. dans ses romans, comme dans ses nouvelles, lygia fagundes telles, qui se considère comme un écrivain engagé, propose, comme recours à l’” absurdité rigide et misérable de la vie ” la force du rêve. les faux héros existentiels de la nuit obscure et moi se débattent dans une réalité cruelle et perverse, douloureuse, ambiguë, celle d’un monde où la cruauté tient lieu de mystique. dans un entretien donné il y a plus de vingt ans, en un temps où elle passait par un “ stade féministe strictement personnel ”, elle attribua à l’écrivain une fonction qui reste d’actualité : “ être témoin du monde où il vit ”. ce souci esthétique et politique, lygia fagundes telles en témoigne dans ces nouvelles, avec froideur et concision. chez elle, rien n’est jamais banal et tout fait frémir. les sentiments ne sont jamais simplement décrits, car l’être humain change trop souvent de peau. les angles de vue multiples sont nécessaires à qui veut faire un portrait approchant de tant d’êtres inexacts, fragiles, peu protégés qu’ils sont par les bulles de savon dans lesquelles ils vivent. la littérature selon lygia fagundes telles a peu de versants paisibles. comme la vie, elle dérange, se montre incommode, fait découvrir des détails en apparence inoffensifs, mais qui rendent la vie d’autant plus inquiétante qu’ils semblent allusifs. le brésil de lygia fagundes telles est implacable : derrière une face calme et lisse, inexpressive, tout n’est que cris, violences, débordements ; seul semble compter le combat pour la survie. » (gérard de cortanze, magazine littéraire n°363, mars 1998) http://www.librairie-compagnie.fr publié dans bresil auteurs | pas de commentaire » bresil, suite posté par aprender le 30 mars 2009 web réalisé par cli © copyright 1999-2003 brésilun pays de la taille d’un continent aux multiples facettes. rio de janeiro et ses célèbres plages, son carnaval et sa baie parmi la plus belle au monde. salvador de bahia la ville coloniale aux 365 églises. manaus, au coeur de l’amazonie sur les rives du majestueux fleuve amazone. brasilia , capitale futuriste. les chutes d’iguassu. [ présentation ] [ rio de janeiro ] [ brasilia ] [ salvador de bahia ] [ quelques liens ] [ des photos ] [ encore des photos http://www.partir.com/bresil/ http://www.partir.com/bresil/ tourisme geographie histoire infos pratiques recits de voyages economie encore plus ! le bresil citation: c arnavals et samba, football et plages de rêve, ou encore l’enfer vert amazonien, voilà les premières images qui viennent à l’esprit quand on pense au brésil. ce pays grand comme un continent, aux multiples facettes, est un monde à lui tout seul. en général, lors de son premier voyage, on découvre le brésil à travers rio de janeiro et sa baie connue pour être l’une des plus belles du monde. À quelques centaines de kilomètres de là s’étend la rivale de rio, et pourtant si différente cité de sao paulo, la plus grande métropole d’amérique du sud. les fabuleuses chutes d’iguaçu, les vastes marécages du pantanal, les cités coloniales du minas gerais et ses vestiges de l’époque des ruées vers l’or et le diamant, les plages infinies et la culture afro brésilienne du nordeste, sans oublier la jungle amazonienne, poumon de la terre. mais ce fantastique pays, ne serait pas tout à fait ce qu’il est sans la joie de vivre, la décontraction et l’insouciance communicative des brésiliens. _______________________________________ vous pouvez cliquer les section à droite de la photo pour tout savoir sur la geo et l’histoire. _______________________________________ http://www.abc-latina.com/bresil/ le brésil est le plus grand État d’amérique du sud (avec 8,5 millions de km 2 : 16 fois la france; canada: 9,9 millions) et il couvre près de la moitié de la superficie du continent sud-américain. le pays est bordé à l’est et au nord par l’océan atlantique, et il est limité au nord par le venezuela, la guyana, le surinam et la guyane française. À l’ouest, ce sont l’argentine, le paraguay, la bolivie et le pérou, au nord-ouest, la colombie et au sud, l’uruguay ( voir la carte détaillée ). sur le continent, seuls le chili et l’Équateur n’ont pas de frontière commune avec le brésil. avec une superficie de 8,5 millions de km², le brésil se place au cinquième rang mondial derrière la russie, la chine, le canada et les États-unis. le brésil — la république fédérative du brésil — regroupe 26 États fédérés (voir la carte détaillée) et un district fédéral (brasilia). les États se répartissent en cinq régions administratives : le nord (acre, amapá, amazonas, pará, rondônia, roraima, tocantins), le nord-est ou nordeste (alagoas, bahia, ceará, maranhão, paraíba, pernambouc, piauí, rio grande do norte, sergipe), le sud-est ou sudeste (espírito santo, minas gerais, rio de janeiro, são paulo), le sud (paraná, rio grande do sul, santa catarina) et le centre-ouest auquel est rattaché le district fédéral de brasilia (goiás, mato grosso, mato grosso do sul). chaque État fédéré possède son propre gouvernement et son propre parlement, dont les pouvoirs apparaissent assez mal définis par rapport à ceux du gouvernement fédéral. les conflits de juridiction sont fréquents. le brésil compte aujourd’hui 16 mégalopoles de plus d’un million d’habitants et 166 villes de plus de 100 000 habitants. autrefois située à rio de janeiro, la capitale du pays a été transférée en 1960 dans la ville nouvelle de brasilia, construite pour rééquilibrer le pays au profit de l’intérieur. le nom de «brasil» (brésil en français) donné au pays dériverait du nom d’un arbre local, le pernambouc ou pau-brasil (le caesalpinia echinata ), dont la sève fut utilisée pour la teinture (rouge) des vêtements; son aire de répartition correspond essentiellement à la mata atlantica , la forêt atlantique du brésil. 2 données démolinguistiques en 2001, on évaluait la population du brésil à 174,4 millions d’habitants, ce qui en fait le 5 e pays le plus peuplé dans le monde, après la chine, l’inde, les États-unis et l’indonésie, juste avant la russie. la population est concentrée dans les régions qui bordent la côte atlantique et elle est fortement urbanisée. 2.1 les différences ethniques le brésil est un pays multiracial et multi-ethnique. le peuple brésilien est formé de trois grands groupes ethniques: les européens, les africains et les amérindiens (appelés «indiens»). c’est pourquoi on distingue les blancs, les noirs et les indiens. mais les groupes se sont mélangés au cours de l’histoire. le recensement de 1990 indiquait 40 % de blancs , 50 % de métis , 8 % de noirs et 2% pour les autres minorités (dont 0,1 % d’amérindiens). en fait, la réalité est beaucoup plus complexe que ne le laissent croire ces pourcentages, car les brésiliens distinguent plusieurs types de métis: le caboclo ou mameluco (métissage de blanc + indien), le mulato (métissage de blanc + noir), le cafuzo (métissage d’indien + noir). et le métissage se poursuit, les brésiliens distinguant des douzaines de types. À partir du 1908, un grand nombre d’immigrés japonais sont arrivés au brésil. À la suite des mouvements migratoires, les communautés japonaises se distinguent maintenant des autres groupes de la population brésilienne; par exemple, on s’est mis à identifier les amarelos («jaunes») et surtout les ainocôs (pour les japonais immigrés), les nisséis (première génération de fils d’immigrés japonais nés au brésil) et les sanséis (première génération de petit-fils d’immigrés japonais nés au brésil). les brésiliens utilisent en portugais le mot cor («couleur») plutôt que raça («race»); les autres termes utilisés sont braca (d’origine blanche européenne), preta («noir») et parda («sang mêlé»). ces distinctions ne reposent pas sur des critères de classifications scientifiques, mais sur la simple apparence physique. de plus, les distinctions sont «souples», car une personne considérée comme un «noir à la peau claire» en europe ou en amérique du nord pourrait être perçue comme «blanche» au brésil. bref, la classification reste souvent affaire de perception strictement individuelle. en somme, il est à peu près impossible de décrire le physique d’un «brésilien typique», étant donné qu’il peut avoir la peau couleur olive et les cheveux noirs frisés, la peau d’un brun foncé et les cheveux roux, les cheveux blonds et les yeux bleus, etc. c’est pourquoi au brésil le mot pardo («gris») est retenu administrativement pour désigner l’ensemble des métis et se rapporte à la couleur de la majorité de la population, c’est-à-dire le mixage qui résulte des trois «races originelles» (indienne, noire et blanche); le même terme écarte des classifications officielles tous les autres mots qui réfèrent au mélange de races, que ce soit mulato, mameluco ou caboclo et cafuso . lors du recensement de 1990, l’ instituto brasileiro de geografia e estatística (institut brésilien de géographie et de statistique) avait relevé plus de 100 nuances de traits physiologiques dont les individus interrogés s’attribuaient les caractères, avec pour souci de s’éloigner autant que possible de la couleur noire. pour simplifier un peu le portrait de la répartition ethnique de la population, les noirs et les métis vivent généralement dans les vieilles zones de plantations où l’esclavage avait concentré les africains: les régions du nordeste (notamment à pernambuco et à bahia), d’une partie du sudeste , surtout à rio de janeiro, l’ État de minas gerais et l’ État de sao paulo . À l’opposé, dans les États du sud où l’activité dominante de l’élevage exigeait très peu de main-d’oeuvre, il n’y a très peu de noirs: le rio grande do sul, parana, santa catarina , etc. on y trouve des populations blanches et métisses. bien que la plupart des brésiliens soient de descendance portugaise ou africaine, voire les deux, on peut noter plusieurs autres courants importants d’immigration qui ont contribué à constituer la population du brésil. on compte des communautés italiennes, libanaises, allemandes, hongroises, polonaises, russes, irlandaises, écossaises, hollandaises, japonaises, etc. malheureusement, les stéréotypes raciaux sont monnaie courante au brésil et un ordre hiérarchique entre les couleurs de la peau semble établi entre blancs, métis et noirs. les noirs sont considérés comme «inférieurs» aux métis, et les blancs sont perçus comme «supérieurs»; entre les deux, toute la gamme infinie de la palette des couleurs. si pratiquement tous les blancs sont alphabétisés, il n’en est pas ainsi pour les métis (15 % à 31 % d’analphabètes) et les noirs (45 % d’analphabètes); présentement, quelque 12 % des blancs entrent à l’université contre à peine 1 % pour les noirs. la discrimination raciale n’est certes pas toujours formellement démontrée, mais les inégalités raciales subsistent. il semble que l’enseignement reproduirait un «modèle raciste de société», particulièrement aux dépens des afro-brésiliens. Évidemment, au plan officiel, il n’existe pas de racisme au brésil, et ce, d’autant plus que cette pratique est rigoureusement interdite. en effet, la constitution interdit et condamne la discrimination raciale sous toutes ses formes. l’article 1 er de la constitution de 1988 précise que le brésil «constitue un État démocratique de droit [qui] a pour fondements [...] la dignité de la personne humaine»…. http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/amsudant/bresil-1demoling.htm publié dans bresil | pas de commentaire » bresil posté par aprender le 30 mars 2009 clique no estado desejado e boa viagem. www.guianet.com.br publié dans bresil | pas de commentaire » marcos malavia posté par aprender le 29 mars 2009 auteur-acteur-metteur en scène bolivien, marcos malavia monte ses premiers spectacles en bolivie puis au chili : el tunel, blanco y negro, et fin de partie de beckett. arrivé en france en 1983, il suit une formation de mime à l’école marcel marceau. puis, il collabore à la mise en scène de plusieurs spectacles de la compagnie renaud-barrault (1986-1988). il assiste alfredo arias sur plusieurs mises en scène : l’oiseau bleu de maeterlinck, l’Éventail de goldoni, famille d’artistes de kostzer et arias, les escaliers du sacré-cœur de copi. dès cette époque, il réalise ses propres mises en scène : la vie d’après l’œuvre de chagall, le bœuf sur le toit de cocteau, les mariés de la tour eiffel de cocteau, avec jean-pierre aumont et raymond gérome. marcos malavia est metteur en scène et co-directeur de la compagnie sourous depuis 1990. il y mène également des activités d’auteur (en langue française ou espagnole). en 1996, à l’isle-sur-la-sorgue (vaucluse), il crée le festival auteurs en acte, qui offre un large espace au théâtre contemporain et aux créateurs d’aujourd’hui. il a travaillé au cdn d’aubervilliers comme conseiller à la programmation auprès d’alfredo arias (1987-1990). en 2003 il est à l’initiative de la première ecole nationale de théâtre de bolivie inaugurée en mars 2004, dont il est le directeur artistique. publié dans bolivie: auteurs | pas de commentaire » bolivie, auteurs posté par aprender le 29 mars 2009 josé mendoza bolivie josé mendoza joue du charango depuis l’enfance en autodidacte. de plus, il est au bénéfice d’une formation complète de guitariste. il est actuellement professeur au conservatoire darius-milhaud d’antony (région parisienne) ainsi qu’a grave; l’institut national de jeunes aveugles. il est aussi membre du quattuor agustin barrios, spécialisé dans l’interprétation de la musique d’amérique latine. plusieurs prix ont récompensé son travail: «nuestra señora de la paz», «hijos del sol», «cantuta de dios». josé mendoza a joué dans les festivals chant du monde féminin (belgique), rencontres de la guitare d’antony, rencontres internationales de la guitare de vendôme (france), guitarras del mundo (argentine), festival international de guitarras en concierto (argentine). il compose et arrange abondamment pour le charango, suivant fidèlement la trace des grands maîtres de son instrument: ernesto cavour, manco nuñes et cameo valdivia. publié dans bolivie: auteurs | pas de commentaire » jose mendoza posté par aprender le 29 mars 2009 josé mendoza bolivie josé mendoza joue du charango depuis l’enfance en autodidacte. de plus, il est au bénéfice d’une formation complète de guitariste. il est actuellement professeur au conservatoire darius-milhaud d’antony (région parisienne) ainsi qu’a grave; l’institut national de jeunes aveugles. il est aussi membre du quattuor agustin barrios, spécialisé dans l’interprétation de la musique d’amérique latine. plusieurs prix ont récompensé son travail: «nuestra señora de la paz», «hijos del sol», «cantuta de dios». josé mendoza a joué dans les festivals chant du monde féminin (belgique), rencontres de la guitare d’antony, rencontres internationales de la guitare de vendôme (france), guitarras del mundo (argentine), festival international de guitarras en concierto (argentine). il compose et arrange abondamment pour le charango, suivant fidèlement la trace des grands maîtres de son instrument: ernesto cavour, manco nuñes et cameo valdivia. publié dans auteurs boliviens | pas de commentaire » bolivie, suite posté par aprender le 29 mars 2009 la bolivie la bolivie, anciennement le haut pérou, fut le berceau de la civilisation tihuanaco, manco kapac l’incorpora à l’empire inca. conquise par pizarro, elle passa sous domination espagnole en 1538. elle doit son nom à simon bolivar qui rédigea lui-même sa constitution en 1825. la bolivie est grande comme deux fois la france, sa superficie est de 1 098 581 km2 et sa population atteint 7 070 000 habitants. limitée par la cordillère des andes à l’ouest, l’amazonie à l’est, elle n’a pas d’accès à la mer, elle a perdu la moitié de son territoire au cours de nombreuses guerres contre ses voisins. elle a une frontière commune au nord et à l’est avec le brésil, à l’ouest avec le pérou et le chili et au sud avec l’argentine et le paraguay. elle est traversée par deux chaînes de montagnes, la cordillère orientale et la cordillère occidentale. en bolivie, on distingue trois régions géographiques très marquées : le haut-plateau, les yungas et les plaines orientales. le haut-plateau de l’altiplano est le plateau le plus élevé du monde après le tibet, avec une altitude moyenne de 3800 mètres. les points culminants sont l’illimani (6 882 mètres), le parinakota (6 873 mètres), l’illampu (6 485 mètres), le pomorape (6520 mètres), le glacier sajama (6 250 mètres). c’est sur ce plateau que se trouvent les villes de la paz , oruro et potosi ainsi que le lac titicaca entre le pérou et la bolivie et le lac poopo. la région des yungas commence sur les contreforts de la cordillère orientale d’où s’amorcent plusieurs vallées. c’est une région fertile dont l’activité est essentiellement agricole. on y trouve les villes de cochabamba, sucre et tarija. enfin, les plaines orientales au climat tropical, elles couvrent plus de la moitié du territoire. c’est dans cette région, difficile d’accès, que s’implantèrent les jésuites jusqu’à leur expulsion. cette région est traversée par plusieurs affluents de l’amazone : le madre de dios (1500 km), le beni, le guapore (1700 km) et par les fleuves qui coulent vers le sud : le pilcomayo (1500 km), le paraguay (2500 km). la ville principale de cette région est santa cruz . la paz , à 3800 mètres, est la capitale administrative et politique, sa population est de 1 189 032 habitants. sucre (146 521 habitants) est la capitale constitutionnelle, puis viennent santa cruz, cochabamba, oruro et potosi. le climat en bolivie varie beaucoup selon qu’il s’agisse de l’altiplano, où l’altitude moyenne est de 3 800 mètres, ou des vallées profondes au climat tropical. la saison sèche et froide va d’avril à octobre, celle des pluies de novembre à mars. À la paz, la température moyenne est de 10°, celle de sucre de 12°. depuis 1977, il existe trois langues officielles en bolivie: l’espagnol le quechua l’aymara. la bolivie est une république constitutionnelle, le président est élu au suffrage universel. la monnaie est le peso bolivien. la bolivie produit de la canne à sucre, du maïs, du riz, du coton, de la banane, du café, de la quinoa et, bien sûr, de la coca. cette dernière se cultive légalement dans les vallées des yungas, pour l’usage traditionnel, avec interdiction de la transformer en cocaïne. toutefois, elle est cultivée illégalement dans la région du chapare. les forêts couvrent une importante superficie du territoire. un accord a été passé en 1989 avec la « conservation international foundation » pour aider à la préservation des ressources naturelles. la bolivie est le cinquième pays du monde producteur d’étain, le neuvième d’argent et le quinzième de zinc. présentation | la paz | le marché de la paz | les villes principales | folklore | artisanat http://www.partir.com publié dans bolivie | pas de commentaire » bolivie posté par aprender le 29 mars 2009 http://www.mapzones.com/world/south_america/bolivia/mapindex.php publié dans bolivie | pas de commentaire » 1 2 salvador dali | livres contre livres pour e... | secrets de polichinelle | unblog.fr | créer un blog | annuaire | signaler un abus | lesmotssontnosvies | fuck off, you rotten bastards | moonlight